La Démocratie est morte, vive la Démocratie
Hier, j'étais comme de nombreuses personnes devant mon écran à regarder et apprécier l'investiture d'Obama, 44ème Président des Etats-Unis d'Amérique (s'il y en a un qui ne sait pas qu'il est le 44ème, il sort, ou alors il va presto chez "O-dika"). C'était intéressant, émouvant... tout ce que vous voulez. En tout cas, je connais plus d'un journaliste qui nous a dessiné une carte de France en direct, compte tenu des envolées lyriques dont nous fûmes abreuvées. Tout de même, on ne peut nier que ce pays bien jeune nous donne des leçons de Démocratie à nous, pays bien vieux qui se rengorge d'en être la genèse.
Pendant que les yeux et les espérances étaient tournées vers l'Ouest, et qu'ensuite les esprits étaient encore tout imprégnés de cet événement, au centre de Paris, il se jouait une autre musique. Une musique plus funèbre et anxiogène ; de cette musique que l'on entend dans les films où le suspense laisse la place à l'acte odieux et ignominieux.
Ainsi, alors que la Démocratie triomphait dans sa plus grande gloire (ou du moins en apparence, l'avenir sera juge), la Démocratie devenait un peu plus moribonde dans notre pays. L'article du Monde en fait état et deux vidéo éclairent l'événement.
1 Crise politique Article 13
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Crise politique à l'assemblée ?
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